Britský maloobchodní prodejce sportovního oblečení JD Sports předpovídá na letošní rok malý nebo žádný růst zisku, a to i před případným dopadem amerických cel, protože obchodní prostředí na jeho klíčových trzích bude podle očekávání „volatilní“.
Před středeční aktualizací ztratily akcie společnosti JD, kótované na burze FTSE 100, v letošním roce více než třetinu své hodnoty kvůli obavám o spotřebitelské výdaje v souvislosti s poklesem poptávky po výrobcích Nike (NYSE:NKE), které tvoří přibližně 45 % tržeb společnosti JD.
Její akcie v odpoledním obchodování vzrostly o 8 % poté, co JD předpověděla zisk za běžný rok v souladu s očekáváním trhu.
Vzhledem k tomu, že necelých 40 % svých tržeb realizuje v USA, je skupina také vystavena nově zavedeným americkým clům, s nimiž prognóza nepočítala.
V USA skupina provozuje podniky Finish Line, Shoe Palace a Hibbett.
Společnost JD, která prodává také značky Adidas (OTC:ADDYY), On, HOKA a další sportovní značky z téměř 5 000 obchodů po celém světě a online, uvedla, že výsledek cel „je nejistý“.
„Vedeme pravidelný dialog s našimi partnery z řad značek, ale je příliš brzy na to, abychom komentovali potenciální dopad na odvětví,“ uvedla.
Na rok do 1. února 2025 společnost JD předpovídá zisk před zdaněním a úpravnými položkami v souladu se svým lednovým výhledem ve výši 915 až 935 milionů liber (1,17 až 1,20 miliardy USD).
Ve čtvrtém čtvrtletí činil růst porovnatelných tržeb 0,3 %, zatímco celkový růst tržeb 5,6 % na trhu, který byl popsán jako „náročný“.
Ce mardi, la paire EUR/USD gagne en élan positif, se redressant après plus de deux semaines de baisses provoquées par la menace de Trump d'imposer de nouveaux tarifs. Samedi, Trump a annoncé son intention d'augmenter les tarifs à 30 % sur les produits importés de l'Union européenne à partir du 1er août, suscitant des craintes d'escalade dans le conflit commercial. En réponse, les dirigeants européens ont confirmé leur intention de poursuivre les négociations avec les États-Unis pour tenter de parvenir à un accord avant la date limite et ont également reporté la mise en œuvre de mesures de rétorsion tout en avertissant d'éventuelles actions futures. Cependant, lundi, Trump a adouci sa rhétorique et a exprimé sa volonté de dialoguer. Lors d'un discours à la Maison Blanche, il a noté l'intérêt de l'Europe à poursuivre un accord alternatif, ce qui a relancé les espoirs d'éviter une guerre commerciale mondiale. Ce ton plus conciliant a soutenu l'euro et amélioré le sentiment de risque sur les marchés mondiaux. De plus, l'affaiblissement du dollar américain—traditionnellement considéré comme une monnaie refuge—contribue également au renforcement de la paire EUR/USD. La baisse du dollar pourrait être liée à l'attente des données sur l'inflation des consommateurs américains, qui doivent être publiées lors de la session nord-américaine. Le rapport de l'indice des prix à la consommation (IPC) influencera les prévisions concernant une éventuelle baisse des taux d'intérêt par la Réserve fédérale, qui pourrait à son tour stimuler la demande pour le dollar et affecter la dynamique de prix de l'EUR/USD. Actuellement, les marchés estiment à environ 60 % la probabilité d'une baisse des taux de la Fed en septembre, et anticipent au moins 50 points de base de relâchement monétaire d'ici la fin de l'année.
Ainsi, des données plus faibles de l'IPC américain pourraient accroître les attentes d'une baisse imminente des taux par la Fed, exerçant une pression supplémentaire sur le dollar. Pendant ce temps, la Banque centrale européenne entend maintenir sa position actuelle et suspendre les baisses de taux lors de la prochaine réunion, malgré les inquiétudes quant à l'impact négatif des tarifs américains sur l'économie de la zone euro. Cela suggère que toute réaction du marché à des chiffres d'inflation américains forts pourrait être de courte durée et renforce le potentiel d'une reprise significative de l'EUR/USD.
D'un point de vue technique, la récente cassure et clôture en dessous de la Moyenne Mobile Simple (SMA) de 100 périodes sur le graphique de 4 heures est un signal clé pour une tendance baissière. Les oscillateurs sur cette période montrent un momentum négatif.
En même temps, l'indice de force relative quotidien (RSI, 14) reste au-dessus du niveau 50, et l'histogramme MACD ainsi que la ligne de signal sont toujours en territoire haussier, indiquant la possibilité d'un mouvement au-dessus du niveau psychologique de 1,1700 vers la prochaine résistance clé autour de 1,1750. Une récupération continue pourrait s'étendre vers 1,1800 puis jusqu'au niveau de 1,1830—le plus haut atteint plus tôt ce mois-ci et le plus fort depuis septembre 2021.
En revanche, le niveau 1,1650–1,1655, qui marque le creux de plusieurs semaines, sert actuellement de support, limitant les baisses immédiates. Si la paire baisse davantage, un support supplémentaire pourrait se trouver autour du niveau psychologique de 1,1600. Une cassure en dessous de ce niveau pourrait déclencher une pression baissière intensifiée. Dans ce cas, la paire EUR/USD pourrait continuer son déclin vers le niveau 1,1535–1,1530, suivi par le niveau psychologique de 1,1500 et le support autour des niveaux 1,1455–1,1450.
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