Akcie LVMH ve středu v ranním frankfurtském obchodování klesly, protože růst tržeb skupiny vyrábějící luxusní zboží nedokázal zapůsobit na investory po řadě dobrých výsledků konkurentů a nedávném růstu cen.
„Vzhledem k tomu, že kolegové z oblasti luxusního zboží (Richemont, Burberry, Cucinelli, Zegna) vykázali výrazné mezičtvrtletní zlepšení tržeb a překonání očekávání, laťka pro LVMH se v posledních týdnech nepopiratelně zvýšila,“ napsal analytik Citi Thomas Chauvet.
„~2% překonání tržeb za 4Q24 ve skupině a v segmentu módy a kůže pravděpodobně nestačí k tomu, abychom to mohli označit za inflexní bod“.
Akcie LVMH otevřely na počátku frankfurtského obchodování poklesem o 3,5 % ve srovnání s úterním závěrem na burze Euronext. Akcie od svých listopadových minim vzrostly o více než 30 %.
Les bourses européennes ont légèrement progressé lundi, donnant le ton à une semaine qui s'annonce tendue et riche en événements. Toute l'attention est portée sur la France, où l'instabilité politique plane à nouveau : le pays pourrait bientôt rechercher son cinquième Premier ministre en seulement trois ans.
Le Premier ministre François Bayrou devrait faire face à un vote de défiance aujourd'hui, une démarche qui pourrait lui coûter son poste. Dans le même temps, la deuxième économie de la zone euro se débat avec une dette publique croissante, tandis que les investisseurs se préparent à la première d'une série de révisions des notes de crédit souveraines prévue cette semaine.
L'indice paneuropéen STOXX 600 a augmenté de 0,21 pour cent, atteignant 550,37 points à 08:22 GMT. Le CAC 40 en France a progressé de 0,22 pour cent.
Les actions financières ont mené la remontée, avec l'indice bancaire européen grimpant de près de 1 pour cent, récupérant une partie de la baisse de la semaine dernière. Le rebond a été alimenté par les attentes que la Réserve fédérale américaine puisse réduire les taux d'intérêt de 25 points de base à la fin du mois, après des données du marché du travail américain plus faibles que prévu.
Les entreprises européennes de pétrole et de gaz ont ajouté 0,8 pour cent, reflétant une hausse de 1,6 pour cent des prix du brut global.
Le secteur de la défense a également bénéficié de préoccupations géopolitiques accrues : les actions de Rheinmetall ont progressé de 1,5 pour cent, tandis que l'indice de la défense au sens large a grimpé de près de 1 pour cent.
Les actions du secteur de la santé européen ont glissé de 0,5 pour cent, avec Novo Nordisk en tête du déclin, perdant 1,3 pour cent. Le recul a suivi une déclaration de la Food and Drug Administration des États-Unis, qui a annoncé des contrôles renforcés sur les ingrédients importés pour les médicaments amaigrissants. L'agence a exprimé des inquiétudes quant au fait que de nombreuses expéditions pourraient être contrefaites et potentiellement dangereuses.
Les actions du groupe Phoenix ont chuté de près de 6 pour cent après la publication des résultats semestriels de l'assureur britannique. La société a également annoncé qu'elle se rebaptiserait Standard Life Plc en mars 2026, ajoutant un poids supplémentaire à la vente massive.
L'espoir d'une réduction des taux d'intérêt par la Réserve fédérale a continué de soutenir le sentiment du marché. Les contrats à terme sur le S&P 500 ont progressé de 0,2 pour cent, rapprochant l'indice de son sommet intrajournalier record de la semaine dernière. Les actions européennes ont augmenté de 0,2 pour cent, tandis que les marchés asiatiques ont gagné 0,7 pour cent.
Le premier bouleversement politique majeur de la semaine est venu du Japon, où le Premier ministre Shigeru Ishiba a démissionné. Les marchés ont réagi de manière inégale : le yen et les obligations à long terme se sont affaiblis, tandis que les actions ont grimpé. Les traders ont interprété la tourmente comme un signe que la Banque du Japon est moins susceptible d'augmenter les taux dans un avenir proche.
L'incertitude politique combinée en France et au Japon a ajouté une pression sur le dollar. Malgré des données décevantes sur l'emploi aux États-Unis vendredi dernier — qui ont renforcé les attentes d'une réduction d'un quart de point des taux de la Fed d'ici la fin du mois et ont même laissé entrevoir une faible chance d'une baisse d'un demi-point — le billet vert n'a pas réussi à se renforcer.
Au début de la semaine, l'euro a légèrement progressé de 0,1 pour cent, s'échangeant à 1,1731 contre le dollar. Le billet vert a gagné modestement par rapport au yen, s'établissant à 147,6. Un franc suisse affaibli et des devises antipodéennes n'ont guère contribué à renforcer davantage la monnaie unique.
Après une forte baisse vendredi dernier, les rendements des bons du Trésor américain sont restés largement inchangés. Le rendement à 10 ans a glissé à 4,08 pour cent, tandis que le billet à deux ans, plus sensible à la politique de la Réserve fédérale, s'est établi à 3,50 pour cent.
Les marchés attendent maintenant la publication de l'Indice des Prix à la Consommation des États-Unis mercredi, le dernier indicateur majeur avant la prochaine réunion de la Fed. Une lecture plus forte que prévu pourrait réduire la probabilité d'une réduction agressive des taux.
Jeudi, l'attention se portera sur la Banque Centrale Européenne. Les analystes s'attendent largement à ce que les décideurs politiques maintiennent les coûts d'emprunt inchangés pour la deuxième réunion consécutive.
Dans le domaine des matières premières, l'or a continué son rallye, atteignant un nouveau sommet historique à 3 616 dollars l'once. Le métal a déjà bondi de 37 pour cent cette année, prolongeant la dynamique après un gain de 27 pour cent en 2024.
Le Brent et le West Texas Intermediate ont tous deux grimpé de 1,6 pour cent après que les membres de l'OPEP+ ont convenu ce week-end de ralentir le rythme des augmentations de production à partir d'octobre. Cette décision reflète des préoccupations concernant la demande mondiale en baisse et a apporté un soutien supplémentaire aux marchés pétroliers.
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